bonjour à tous
j'ai décidé d'entamé un autre roll play que je vous présente ici
« Mon père, maudit soit- il, était encerclé, à ce moment, une femme arriva, elle avais une vingtaine d’année, en un coup elle tua tout les monstre, les deux chevalier tombèrent éperdument amoureux l’un de l’autre, je naquit trois ans plus tard, j’avais, parait-il, déjà la peau très palle, presque blanche, jusqu'à l’age de cinq ans je vénérais mes parent comme des dieux, je les adorais, mais deux jour après mes cinq ans, mon père commenças à se drogué,
Mes parents se disputaient sans cesse, six mois plus tard, je cassa un vase, mon père me gifla, ma tête heurta un mur et je m’évanouis, lors ce que je revins à moi, mes parent se disputais pour la quinzième fois depuis le début de la journée, j’en avais plus qu’assez, je m’enfuis. A peine avais-je parcouru cinquante mètre qu’une vois m’interpella
-Hop ! Hop ! Hop ! Ou tu va comme sa ?
Un homme me fixait, son regard et sa voie était très douce
-j’ai tout vu figure toi, tes parents te batte, alors viens avec nous, nous t’apprendrons à te battre et à réveillé le démon qui est en toi
-ha bon ?
-oui, tu dois juste nous révéler quelle est ton ambition
-je veux … vous le découvrirez plus tard
-dis donc, tu est plutôt mure pour ton age, suis moi maintenant si tu souhaite la puissance, sinon, va crevé
Je me décidai à le suivre, nous arrivâmes dans une ruelle sombre, un escalier nous mena dans un petit local ou se tenaient une dizaine de personnes
-dite bonjour à notre nouveau chasseur
Il me salluèrrent puis nous commençâmes l’entraînement, on me tendit une épée, l’entraînement était rude, il y avais un entraînement qui visais à me rendre plus puissant, un autre consistais à amélioré mon endurance, le troisième avais pour but de me rendre très rapide, j’appris aussi à analysé toute les situation.
-C’est parti ! dit l’homme qui m’avais formé, il fonça sur moi, naturellement, je n’eu aucun mal à contré son attaque, mon coup, lui en revanche mi fin à l’affrontement. Je rengainai mes épée et sortie
-ou vas-tu comme sa ? Rend moi les épée d’abord ! hé ! Je te parle crétin !
-vermine !
Quand je rentrais chez moi, mes parents continuaient à se disputer
-Chevaliertueur ! Ou à tu eu ses épée ?!
-excusez moi père, mais cela ne vous concerne pas
-Tu veux jouer à sa, très bien
Mon père sorti un fouet et m’en donna cinquante coup
-je vais t’apprendre à qui tu désobéi
Je me laissais faire, en sachant qu’il n’y avait rien à faire pour l’instant
Le soir je me leva, et attrapa mes épées, j’entendis ma mère
-chérie, je crois que j’ai entendu du brui !
À ce moment précis, mon père débarqua dans le couloir
-que fait tu ? Me demanda t- il
-Je suis venu vous tué père
Ma mère s’interposa
-non s’il te plait
-poussez- vous mère
-non
-je vous ordonne de vous écarter
-tu me donnes des ordres maintenant ?
-écarté vous, pour la dernière foi
-que vas-tu faire sin…
la malheureuse n’eu même pas le temps d’achevé sa phrase, qu’elle s’écroula, morte, une plait béante entaillais son ventre, de l’abdomen jusqu'à la poitrine, cependant je ne rengaina pas mon épée, je ne chercha même pas à la nettoyez, alors que son sang se répandais sur le sol, enjamba le corps de la défunte et m’avançais lentement vers mon père
-qu’a tu fais
-regardez par vous-même, père
L’homme qui se tenais devant moi, pris sa grosse épée, et la plaça pour en faire un rempart
-vous ne méritez même pas de mourir par ma main vous savez ? Cependant, toute la vermine doit être exterminé
-ne me tant pas ce regard vide, dénué d’expression ! M’ordonna ma future victime
Ma lame fendit l’air
-trop lent ! Me fis l’homme
-observez mieux !
Le ventre et le dot de mon père était entaillé par une plais géante, je lui trancha la tête d’un troisième coup d’épée, puis je sortie de la maison pour me rendre la ou je m’entraînais d’habitude
-tien tien ! Mais qui voila ! dit mon entraîneur à la cantonade
-vous aussi, vermine, et la vermine doit mourir
-mais c’est qu’il se croit puissant le petit assassin
Je dégainai ma deuxième épée, puis m’avança ver mon professeur de combat
-qu’est ce que tu a à la fin ?
Je n’eu aucun problème pour paré son coup ridiculement lent, de l’autre main je lui plantais mon épée entre les deux yeux, quand je retira ma lame, il s’effondra par terre
En tout, il ne me fallut que deux minute pour exterminé les neuf combattant encore en vie, je rengaina ma lame après l’avoir essuyer, puis je m’installa pour finir ma nuis
Le lendemain je reparti
-GROSSE NOUVELLE, UN MEURTRE EN SÉRIE CETTE NUI ! ACHETEZ LE FLARINIEN !
Tendis que je donnais un pièce en vendeur de journaux, je lu le gros titre
« Dans la nuis du 15 au 16 juillet 1542 dans la ville de Flarin, on été retrouvé les corps sans vie de douze personne, parmi eux monsieur et madame Corta on été froidement assassiné, le coupable serais leur fils de huit ans, il est actuellement recherché par les autorité madrigaliènes
Je n'avais pas le chois: je devais fuire, et surtout, je ne devais pas me faire repéré, et ce marchant de journeaux m'avais sans doute reconu, je pris donc la résolution de le tuer.
Je commenca par me rendre à la station de vol, je déroba une planche volante sans me faire repéré, puis je partie.
après deux heure de vol j'ariva à l'entré d'une grotte nommé "mine de mas".
à l'intérieur, l'énergie y était faible et peux présente.
un homme m'arraita
-c'est toi qui a assassiné douze personne cette nuis: je te reconais!
personne ne devais savoir que j'était ici, ma puissance suffit à le cloué au sol, j'éleva la voie
-vous allez tous me suivre ou je vous tue immédiatement!
ils n'osèrent pas résistés
au font de la mine se trouvais une porte
-qui a une clé?
-m...moi... s'éleva une petite vois
-ouvre cette porte!
le sol trembla et la porte s'éleva
-rentrez!
tous obeirent, la salle contenais des monstres que je tua en quelque coup dépée, la porte se referma
-très bien, défendez vous ou mourrez
un des homme tenta de s'enfuire.... sans succes, il mouru avans d'avoir attein la porte
les autres m'encerclais, tous des adoléscents et des enfants, leur vie s'acheva en moin de cinq seconde, les survivents me faisais face.
-décharge sonique!
une onde de choc les tua sur le coup, puis je m'instala.
je vécu ici pendent sept ans, vivant de meurtre et de larcin en tous genre
un jour, la porte explosa, un homme qui était de la police du souverin en place, se tenais la
-je vous arrète pour meurtre en série. me dit -il simplement...